CABINET FABRICE ANZEMBERGER
FABRICE ANZEMBERGER
PSYCHANALYSTE
DEPUIS 1995
ADHÉRENT ASSOCIATION ESPACE ANALYTIQUE
Paris La Défense
06 77 52 57 07
Maule Yvelines
LA PSYCHANALYSE :
La fonction psychique de l'être humain est prioritairement linguistique et non biologique et sociale. Ainsi, la psychanalyse est une clinique qui ne repose que sur le langage. En d'autres termes, elle est une cure de parole qui permet de ne pas endormir la souffrance et sa cause mais bien plus d'éveiller la vérité d'un désir inconscient qui se manifeste par des symptômes (mal-être - angoisse - obsession - phobie - dépression - burnout - psycho-somatisation ...).
La pratique analytique de la libre-association, de l'interprétation des rêves, des lapsus et des actes manqués, fait découvrir comprendre et dépasser le confit inconscient qui formé dans l'histoire infantile ne cesse de se répéter insidieusement dans la vie adulte.
Faire une demande d'analyse nécessite, il va de soi, vouloir se connaître en profondeur mais également de s'en donner les moyens.
Une analyse commence par un premier rendez-vous : 06 77 52 57 07.
LA PSYCHOTHÉRAPIE ANALYTIQUE :
Si la psychanalyse nécessite d'être allongé sur un divan, la psychothérapie analytique demande un face à face avec le psychanalyste. Pour soutenir le "patient" confronté à un problème persistant ou accidentel dans sa vie (anxiété - maladie - deuil - conflit relationnel - perte de désir - trouble sexuel...) , le psychanalyste propose un échange verbal vivante et en confiance.
NÉO-SYMPTÔMES DE L'HYPER-MODERNITÉ
ADULTE - ADOLESCENT - COUPLE
burnout - stress chronique - fibromyalgie psychosomatique - écoanxiété - angoisse
addictions de connexion (portable - jeux - réseaux-sociaux)
dépendances sexuelles (cybersexe - chemsex - paraphilies)
Fabrice Anzemberger prône une Psychanalyse Actuelle qui fait résonance dans
la clinique des néo-symptômes de l'hyper-modernité dont le diagnostic médical et la légitimité sociale restent variables.
Quels sont ces néo-symptômes ?
Ils sont l'expression névrotique du "trop d'excès" : sur-performance, sur-information, sur-cavalcade, sur-risque, sur-réactif - sur-éclate, sur-connecté - sur-addict (drogue - alcool - sexe...) - sur-pression, sur-consommation, sur-puissance, sur-jouissance, sur-risque... Une "sur-chauffe" du psychisme et du soma qui peut mener au pire (crise cardiaque - coma - over-dose - mst - violence - suicide - accident de la route...) ; la "folie"du "trop d'excès" possède le verso de la médaille, la "folie" du "trop de manque" (d'amour - de social...).
Mais également, les néo-symptômes touchent l'école (harcèlement - violence attentat...).
Le scientisme réduit de plus en plus la pensée humaine à une seule activité neuronale et le comportement au taux de sérotonine ; les néo-symptômes de l'hyper modernité, ne sauraient être, traités par la psycho-chimie.
Cependant, la psychothérapie analytique des néo-symptômes de l'hyper-modernité n'est envisageable que lorsque le sujet a pris conscience de la morbidité et de la souffrance de son excès du "trop", du "manque", du trauma... des risques encourus pour sa santé mentale, physique voire sociale.
"Si la grande chose qu’est la culture va de travers, cela tient simplement à ce que les hommes pris isolément vont de travers, à ce que je vais de travers. Raisonnablement, il faudra commencer par me redresser moi-même " Carl Gustav Jung
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DÉPRESSION & PANNE D'INSPIRATION
DES ARTISTES ET AUTEURS
L'expérience tant de la clinique analytique de Fabrice Anzemberger que de sa propre création, l'a orienté vers la thérapie des états-dépressifs des créateurs et du "symptôme noir " de la "page blanche" .
La psychothérapie analytique des troubles dépressifs (addictions - perte d'inspiration, isolement...) des artistes et auteurs est complexe car demandant de traiter tant les processus mentaux inconscients responsables de la souffrance que de préserver les intra-subjectivités primaires et complexes source de créativité ; ce qui, demande de la part du psychanalyste de posséder une véritable "alchimie clinique" pour interpréter et maintenir la position intra-psychique de "jouissance/souffrance" qui se décline sous diverses formes d'actes de création.
La clientèle de Fabrice Anzemberger est principalement des musiciens, acteurs, écrivains, poètes, peintres, cinéastes...
André Breton pensait que :"La question n'est pas où commence l'art ni où commence la folie, mais où s'arrête la sécurité de l'esprit"
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La formation du psychanalyste diffère des cursus de psychiatrie et de psychologie car elle ne se dispense pas à l'Université mais dans des Instituts Privés de Psychanalyse.
Si nombre de psychanalystes sont cependant initialement psychiatres ou psychologues, leur diplôme initial ne fait ni la compétence à la clinique psychanalytique ni légitimer l'exercice de la psychanalyse ; il en est de même du doctorat de psychanalyse qui en aucun cas ne saurait valider la compétence clinique d'un praticien.
En effet, le suivi psychiatrique (médicamenteux) et psychologique (comportemental) diffère totalement de l'investigation analytique des processus psychiques profonds.
Il est donc étonnant de se prévaloir "psychiatre-psychanalyste" ou "psychologue-psychanalyste" car la pratique d'un psychanalyste répond tant d'un "désir inédit" qu'à une "éthique clinique" qui oblige ce dernier à ne pas se trouver dans une confusion de langues cliniques tant pour lui -même que pour son patient.
Enfin, le droit d'exercice de la clinique psychanalytique et l'utilisation du titre de psychanalyste requièrent donc la reconnaissance des Pairs de l'Institut Psychanalytique qui ne se fait qu'après une longue formation psychanalytique (plusieurs années) et une supervision clinique.
Le "Connais-toi toi-même" de Socrate se retrouve en psychanalyse par l'injonction à devoir faire une analyse avant même d'entamer la formation de psychanalyste ; et même, de savoir la continuer régulièrement lors de son exercice professionnel. Cette injonction psychanalytique du travail sur soi est éthique voire digne de sagesse, car comment un praticien pourrait-il aider son "patient" s'il n' avait pas lui-même travailler à mieux se connaître ? Le praticien en "psy" doit donc avoir impérativement la "connaissance de soi" dans toute la complexité intrapsychique (conscient/inconscient) et intersubjective (transfert) ; ce n'est pas le diplôme qui permet cette connaissance.